Israël - Palestine : la paix possible?

C’est vraiment avec un énorme plaisir, naïf mais volontaire, que j’écris cet article sur la possible reprise des négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens.

Moi qui crois toujours en la force de la paix, en puissance la de la fraternité et en la véracité de la bonté de l’homme, c’est avec joie que je perçois et transmets ce petit message de paix que vient de lancé Monsieur OLMERT, PM d’Israël, envers les Palestiniens.

La main tendue de ce dernier vers le peuple Palestinien est la preuve vivante du fait que la guerre ne règle rien. Que la haine n’est jamais une solution aux problèmes. Que le respect de l’autre est aucun doute l’élément décisif dans la résolution de tout problème.

De surcroît et par chance, les conditions fixées de part et d’autres afin de se parler ne sont vraiment pas impossibles à respecter.
Monsieur OMLERT souhaite que le soldat kidnappé par les Palestiniens soit libéré et que les tires de roquettes s’arrêtent.
De leur coté, les Palestiniens exigent l’arrêt des offensives et le retrait de l’armée Israélienne de la bande de Gaza.
Que la paix l’emporte et que la souffrance aussi bien Israélienne que Palestinienne s’arrête le plus vite possible.

Mère ROYAL

La France, une République au féminin, incarnée partout dans le monde, via ses ambassades, par une Marianne belle, gracieuse et protectrice. Les français eux-mêmes sont toujours les premiers à chercher la présence féminine chez les autres. Ils veulent toujours d’assurer que l’égalité femme et hommes soit respectée à la lettre dans les pays du tiers monde. Mais alors pourquoi en France même les femmes françaises n’ont toujours pas un statut égal aux hommes ? Ne serait-il pas normal qu’avant de faire la leçon au monde entier, ils devraient commencer par accepter l’équité femmes et hommes en France ? Pourquoi à l’Assemblée Nationale, pourquoi parmi les membres du gouvernement, pourquoi au sein de la vie économique et bien d’autres domaines, elles sont toujours sous représentées ? Pourquoi dans la France de 2006, dans la France, pays des Droits de l’Homme, le salaire d’une femme est de 20 à 30% moins que celui des hommes et ceci à compétence égale ? Pour parler que de la politique, mon domaine de préférence, vous l’aurez remarqué depuis tout ce temps maintenant, je voudrai citer l’exemple de la désignation de Mme Royal pour les Présidentielles de 2007. Nous sommes tous témoins des moqueries et des «petites phrases » qu’ont lancées Messieurs DSK et FABIUS. Mais les socialistes français ont choisis Mme Royal pour les représenter en 2007. Il est vrai que cette désignation a été surprenante pour beaucoup d’élites politiques en France. Ceci est une belle preuve du fait que la société française a devancée ses dirigeants. Les raisons de ce choix historique sont multiples : sans doute les français avaient besoins de la douceur, d’être materner, d’être plus pacifique, d’être plus protéger, par une femme Présidente de la République, face à la mondialisation qui les inquiètes le plus. En tout cas une chose est sur : il ne suffit plus d’être diplômé de l’ENA, d’avoir énormément d’expériences effective dans la vie politique, d’avoir des réponses, vraies ou démagogies, à toutes les questions. Dans la France de 2006, dans la France très inquiète par l’écologie et dans la France de la tolérance, une femme est élue par ses paires à devenir la Première Présidente de la République de l’histoire de France. Voyons en avril 2007, celui qui sera choisi à la Présidence de la République.

Blair vient de tout comprendre !

Voilà qu’enfin - cinq ans après la chute du régime des Taliban en Afghanistan ou encore presque quatre ans après l’invasion américaine en Iraq - que le PM Britannique, de visite en Afghanistan, semble comprendre les vrais enjeux de terrorisme international. En effet, il déclare que l’engagement de la communauté internationale en Afghanistan pour combattre le terrorisme n’est pas seulement un service rendu aux Afghans, mais il s’agit bien, aussi, d’une sécurisation véritable du monde.
Je ne cesse d’écrire que chaque image d’agression des forces américaines en Afghanistan, en Iraq ; chaque image des violences faites au Palestiniens et aux Libanais par l’armée Israélienne est une raison supplémentaire de légitimité rêvée que nous offrons aux groupes terroristes et extrémistes à prospérer.
Au lieu d’essayer «déchiffrer» la logique des sympathisants des religieux extrémistes en Afghanistan, au Pakistan et même ailleurs, la communauté internationale s’empresse de faire de grandes déclarations.
Il faut revenir à la réalité ; un combat basé sur des « idéologies » ne se gagne jamais par déclaration. Il ne se gagne pas non plus par l’envoie massif des armées, aussi puissantes qu’elles le soient. L’exemple américain en Iraq nous le certifie bien.
Cela étant dit, nous ne pouvons pas, et ne devons surtouts pas laisser notre monde être diriger par les terroristes. La terreur n’est jamais juste. Elle n’est jamais justifiable. Elle ne doit jamais nous dépasser.

Pour toutes ses raisons, je vous propose de nous attarder juste un instant afin de mieux comprendre ce dont sont composées ces populations –tribales- tant convoitées par ces groupes politico-religieux.
Alors, qui sont ses populations chez qui les extrémistes trouvent de si fiables refuges et pourquoi?
Il s’agit bien des hommes et des femmes d’un niveau d’éducation très bas, d’un niveau d’économie très faible, d’un niveau de connaissances très limité et enfin d’un niveau de curiosité du monde très restreint.
Alors une fois ceci étant dit, la question qui se pose est : quelle est l’intérêt donc que portent ses populations à affectionner, à héberger, à cacher, à dissimuler, à admirer et même à vénérer ces personnes appelées terroristes par le monde occidental ? La réponse est très simple : les populations vivantes dans ces zones rurales du Pakistan, d’Afghanistan et de bien d’autres pays sont des gens simples qui à la base ne cherche de causer de soucis à personne contrairement à ce que l’on laisse croire parfois. Mais quand elles voit, à l’aide bien sur des médias aussi bien occidentales qu’arabe, qu’une partie du monde musulman est « agressé » en permanence par des forces étrangères, c’est là que se crée le sentiment d’injustice. A ceci s’ajoute, aussitôt, les propos et propagandes des groupes religieux qui s’auto désignent comme étant le contre poids à cette agression et ces injustices.

En croyant de faire preuve d’une solidarité musulmane avec leur frères Palestiniens, Afghans, Iraquiens et autres ses gens simples et, croyez-moi très naïfs, hébergent, protègent et nourrissent des hommes comme Ben Laden, Mollah Omar etc…

Essayons d’être juste. Cherchons d’être humain et donc plus fraternel. Veillons à ce que la perte d’une vie humaine soit condamnée avec la même force. Arrêtons d’être sélectif dans nos condamnations de la terreur.

Que la paix l’emporte ; que la terreur soit battue ; que la fraternité soit le maître mot.

Négligée, Humiliée, Battue…assassinée

Comment la femme Afghane est passée de la position de la mère, de la sœur et de l’épouse à celle d'une être souvent ignorée, humiliée, battue et même criminellement assassinée ?

Les femmes en générale, mais la femme Afghane en particulier, bien que la nouvelle Constitution Afghane lui reconnaisse les mêmes devoirs et droits que l’homme, est-elle vraiment devenue une marchandise ?
De sa naissance à sa mort la femme afghane n’est jamais vraiment maître de son destin. Elle née dans une famille et y reste la moitié de vie à servir les hommes. L’autorité du père lui interdit toute existence sociale à titre individuelle. Ensuite,et très jeune –14 à 17 ans- elle est donnée en mariage à une personne dont elle ne découvrira l’identité et le visage qu’au soir de son mariage.

A partir de cette date, elle devient l’honneur de sa belle famille et surtout celui de son mari. Je voudrais m’attarder un peu sur ce mot « honneur » que je trouve coupable de biens des suicides, d’assassinats et de crime contre l’humanité dans les pays sous développés. En effet, dès l’instant que le label «d’honneur de la famille» est mi sur la tête d’une femme, en vérité il s’agit de la perte de son identité en tant que personne et elle devient un biens comme un autre du mari.

Dans certains cas, le mari est quelqu'un de bien et par conséquent, l’épouse en question est bien nourrie, logée, écoutée et même, parfois, respectée. En revanche, dans une large majorité des cas, elle constamment et gratuitement humiliée, mise plus bas que la terre et battue. Les raisons de cette façon de comporter avec l’être avec qui, normalement on partage sa vie, sont multiples et variées.
La plus part de ces pauvres femme passent toute leur vie à servir leurs maris et nombreux enfants (8-14), et d’autres non pouvant plus des ses humiliations et violence gratuites se donnent la mort.

Elle se donnent la mort en se brûlant car retourner chez son père après le mariage pour femme est considéré comme une honte énorme. Et même si elles essaient de s’échapper à la violence de leur mari, il n’est pas rare de voir que le père de la femme lui fasse du chantage affectif ou même la menace pour qu’elle retourne chez son mari.

Face à ces situations graves, une partie des ses femmes sans espoirs préfèrent se suicider et d’en finir avec la vie indigne qu’elle mènent.

Il est donc de notre responsabilité à tous de condamner avec la plus grande fermeté cette barbarie faite à des êtres qui nous donnent la vie.

Maudite soit la geurre

Il y a quelque jours le Président Français, Monsieur Jacques CHIRAC, à l’occasion du 11 novembre commémorait la fin de la première guerre mondiale. A quand la fin des guerres actuelles, en Iraq, en Afghanistan et ailleurs dans le monde.

En tous état de causes, faisons ce qui est dans notre pouvoir afin de promouvoir la paix et la fraternité dans le monde.

Un regard hagard

Voici que nous arrivons à l’épilogue d’une histoire hors de commun d’un orphelin de la terre Iraquienne.
Sadaam Houssein al Madjid, l’ex Président de l’Iraq. Apprécié, aidé, protégé, détesté, mi à l’écart et enfin diabolisé par les Etats –Unis des amériques. Bush père d’abord et Bush fils ensuite se sont prit à cet homme qui menait son pays de main de fer. Je ne vais pas revenir sur le Pourquoi et le Comment de la prise du pouvoir de Sadaam Houssein, je voudrai tout de même m’attardé un peu sur le destin qui a été le sien.
Une enfance malheureuse, battu et humilié par son beau père. Une adolescence pas très glorieuse non plus. Sa jeunesse très mouvementée, il était assoiffé du pouvoir et ceci sans attendre. Sadaam Houssein devient le Président de l’Iraq. Le reste de l’histoire on l’a connaît. Il était en quête perpétuelle de reconnaissance. Il adorait que le monde arabe le surnom « le Sauveur des Palestiniens ».

L’Iraq est envahie par les « Boys » de Bush le fils et la chasse à Sadaam commence. Un beau jour, la BBC et le CNN sous titre en Breaking News et voilà qu’un homme fatigué, barbu, et en état quasi animal apparaît sur les écrans. Un procès sans réelle valeur et légitimité est mi en place. Sadaam est condamné à mort par pondaison. Ce verdict n’est vraiment pas une grande surprise. Pouvait-on s’attendre à une autre sentence ? En réalité, les jeux avaient déjà étaient faits. Le verdict n’avait donc pas de réelle importance.

Comme la position officielle de l’Union Européenne, je ne suis pas là en train de pleurer sur le sort de cet homme qui a sans doute fait supprimer des centaines de milliers d’innocents. Sadaam Houssein était un véritable dictateur qui a opprimé son peuple durant des décennies. Mais le vrai questionnement est-ce que ce ne serait pas plus juste que cet homme aurait été jugé un tribunal international indépendant ?