21 mai, 2006

Malheurs Palestinien : à quand la Paix !


Pendant plus d’un demi siècle, le peuple Palestinien a été le témoin des tueries de tout genre. Des milliers de familles ont perdus de proches dans ses combats, guerres et affrontements.

La dispute principale qui déchire ce coin du monde est bien évidemment la cause Palestinienne et la paix, désormais aussi importante pour l’Etat d’Israël. Depuis près de 60 ans, il y a eu d’innombrables négociations, de plans de paix entre ces deux peuples voisins malgré eux, mais tout en vain.

Aujourd’hui, le Hamas (groupe extrémiste qui veux la disparition pure et simple d’Israël) est démocratiquement élu à la tête d’Etat Palestinien ce qui n’arrange en rien les affaires.
La communauté internationale doit d’un coté être pragmatique et réaliste, mais surtout promoteur de la paix donc agir de la sorte afin qu’il est une paix durable et juste entre les Palestiniens et les Israïliens, de l’autre coté, il ne faut pas mettre en péril le sentiments ni des uns ni des autres. Et c’est bien ceci qui rends les choses très difficiles.

Moi, je voudrai vous faire part de mon désarroi et de ma révolte liée au fait que les branches encore plus extrémistes qu’extrémistes du Hamas, je ne sais pour quelles raison, tuent leur propres concitoyens.
Je me mets à la place des centaines de milliers de Palestiniens qui sont prit en otages par toutes ces guerres incessantes. Leurs vies ne ressemble plus à des vies normales. Ceci est grave.
A quand qu’il y a une conscience collectives chez nous, les habitants de cette terre, pour mettre ramener les uns et les autres à la raison et dépasser nos intérêts afin d’offrir aussi bien aux mères Palestiniennes qu’Ismaïliennes leur plus beau cadeau : La Paix !

20 mai, 2006

Mes plus sincères Condoléances


Dans le Journal Télévisé du samedi 20 mai 2006, je viens d’apprendre le décès triste et regrettable de Monsieur Christophe de PONFILLY.
Monsieur de PONFILLY était Le spécialiste digne de ce nom d’Afghanistan. Depuis le début des années de guerre en Afghanistan,1980, il se rendait régulièrement au vallée du Ponjshir pour rendre visite à son fidèle ami le commandant Massoud.
Je voudrai témoigner à sa famille ma plus grande solidarité. Je souhaite également partager la douleur et le deuil de cette famille en tant qu’un admirateur de ses ouvres engagés concernant mon pays et sa population.


Christophe de PONFILLY était l’auteur de cinq livres :

« Lettre ouverte à Joseph Kessel sur l'Afghanistan » (document) Editions Bibilophane
« Massoud, l’Afghan » (document) Arte Editions et Editions du Félin
«Le clandestin» (document) Éditions Laffont
«Les gobeurs de lunes» (roman) Éditions Laffont, réédité sous le titre "Scoops" aux Editions du félin
«Poussières de guerre» (document) Éditions Laffont
«Vies clandestines» (document) Éditions Florent Massot - Prix littéraire des DROITS DE L'HOMME 2001

Sa filmophrahie :

GIGN, le temps des secrets (France)
Randonnée en Corse ( Corse)
Massoud et la délégation de l'espoir (Afghanistan, France)
À la mémoire de Massoud (Afghanistan)
Mariages et contes de fées (France)
Vies clandestines, nos années afghanes (France, Afghanistan)
Chronique d'une petite ville russe en hiver (Russie)
Paris by night (France)
de la collection «Aux p'tits bonheurs, la France»
Monsieur le Rabbin (France)
de la collection «Aux p'tits bonheurs, la France»
Prix spécial du jury au festival du scoop et du journalisme d’Angers (1999)
Massoud, l’Afghan (Afghanistan)
Prix spécial du jury au 14ème festival Mondial de Télévision du Japon.(2000)
Prix Planète, prix spécial du jury et Prix Jury Jeunes au F.I.G.R.A.(1998)
Prix du Festival dei Popoli (Florence) "meilleur documentaire 98”
Grand Prix du festival Montagne et Aventure d'Autrans (2001)
Et vive l’école ! (France)
de la collection «Aux p'tits bonheurs, la France»
Les grandes batailles de Monsieur le Maire (France)
de la collection «Aux p'tits bonheurs, la France»
La Jeanne s’en va-t-en mer (France)
A nos profs bien aimés (France)
L’Ombre blanche au pays des Papous (Indonésie)
Les derniers Pirates (Caraïbes)
Les Plumes font leur CirQue (France)
dans la collection «Du côté de Zanzi Bar»
Prix du C.F.A. "meilleur documentaire de l'année”
Naître, des histoires banales mais belles (France)
dans la collection «Du côté de Zanzi Bar»
Prix Planète Câble décerné par le public et prix spécial du jury au F.I.G.R.A. (1994)
Do ré mi fa sol la si do, les Kummer (Suisse)
dans la collection «Du côté de Zanzi Bar»
Prix UNESCO, Festival international du film d’art 1994
Kaboul au bout du monde (Afghanistan)
dans la collection «Du côté de Zanzi Bar»
Prix spécial du jury à La Nuit des Yeux d’Or de Reuil Malmaison 1994
Chroniques des hautes plateaux (Suisse)
dans la collection «Zanzi Bar»
Télé-Radio-Magie (Burkina Faso)
dans la collection «Zanzi Bar»
Prix UNESCO, Festival des programmes africains de Nairobi 1994
Par un bel été russe (URSS)
dans la collection «Zanzi Bar»
W Street (USA)
dans la collection «Zanzi Bar»
Prix du meilleur documentaire 1992 aux Rencontres Européennes de Télévision de Reims (1992)
Nos enfants de la patrie (France)
A coeur, à corps, à cris -3 x 52 minutes- (12 pays)
Prix Unda au Festival International de Monte-Carlo, 1992
Poussières de Guerre -2 x 52 minutes- (Afghanistan, URSS)
Grand Prix du Festival international de journalisme d'Angers 1990
Aigle d'or du Festival international d'histoire de Rueil-Malmaison 1990
Autofolies (France)
Mention au Festival Europa 1991
Joseph Brodsky (USA et URSS)
Antoine Blondin (France)
dans la collection "Un siècle d'écrivains"
Massoud, portrait d'un chef afghan (Afghanistan)
Haute tension (Afrique du sud)
Une autre façon d'être blanc (Zimbabwé)
Les damnés de l'URSS et Soldats perdus (Afghanistan, Canada)
Prix du meilleur film humanitaire 1987, Festival du grand reportage de La Ciotat
Edmund ou la vie de château (France)
Les combattants de l'insolence (Afghanistan)
Prix Albert Londres 1985
Une révolution camouflée (Tigré)
Les rebelles de la brousse (Angola)
Une vallée contre un empire (Afghanistan)
Prix international ONDAS 1983

A nous de juger !

Voici le visage d’un des hommes les plus violents des Taliban en Afghanistan. Il s’appelle Mollah Dadullah. Il est sans doute l’homme le plus proche de Mollah Omar. Le gouvernement Afghan vient d’annoncer son arrestation, mais les sources indépendantes ni les Etats-Unis ne confirent cette nouvelle pour le moment.
Si, cette arrestation s’avère réelle, il faudrait consulter le peuple Afghan à qui cet homme a infliger beaucoup de peines et d’horreurs durant 1994-2001, pour savoir ce qu’ils veulent lui donner comme peine. Où mieux encore, il faudrait le renvoyer devant le tribunal international des crimes contre l’humanité pour y être juger à la hauteur de ses crimes.

Mollah Dadullah faisait partie des dix hommes dirigent l’Afghanistan pendant la période des Taliban.

15 mai, 2006

Deux étrangères au bout du monde !


Ce n’est pas vraiment l’envie de détourner les paroles de la chanson de RENAUD qui me motive à écrire cet article ; mais bien le souhait de vous faire partager une histoire de fraternité et de solidarité très intelligente.

Après les attentas terroristes du 11 Septembre 2001 à New York qui ont véritablement changés la face et le destin du monde, RENAUD composait sa chanson «Manhattan-Kaboul » pour raconter l’histoire de ce drame à travers une fille Afghane et un américain.

Aujourd’hui, ce sont deux femmes américaines justement qui en faisant une visite de 5 jours en Afghanistan, réécrivent l’histoire de la douleur, de leur douleurs. Ces deux femmes sont deux veuves des hommes qui ont perdus leur vies dans les attentas de 11 Septembre. Elles sont membres d’une association des veuves des attentats. Cette association finance des projets d’aide aux femmes et enfants afghans qui ont, eux aussi soufferts des crimes perpétuées par des terroristes à leur manière.

Ces femmes, comme une bonne majorité des occidentaux, avant d’avoir été toucher dans leur propres famille par la douleur, disent ne penser qu’au seul bonheur, famille et confort de leur personnes. Elles disent, avoir ouvert leur yeux et voit aujourd’hui que le malheur, la douleur, la joie, la peine, l’amour et enfin la Vie, sont des mot qui n’ont pas de frontière.

En venant en Afghanistan, en discutant avec des femmes et des hommes afghans, elles ont découverts que les mères afghanes elles aussi ne souhaitent que le bonheur de leur enfants. Que ces Afghanes sont aussi victimes des malheurs du monde.

Petty GOYKLY et Suzanne RITEK qui ont de jeunes mamans, finissent par dire une chose que je trouve très vrai et juste : il ne faut pas penser que le malheur des gens de l’autre bout du monde ne regardent que ces gens là. Nous sommes certaines qu’un jour ou un autre, si nous ne sommes pas solidaires des uns et des autres, leur peines vont finir par nous toucher nous aussi.
Elle ont raison, nous sommes tous les habitants de cette même terre. il nous faut être présent dans la douleur de nos frères et sœur qui souffriraient à n’import qu’elle coin du monde. La haine, l’extrémisme, et des divisons ne font qu’aggraver nos malheurs. A nous d’être plus forts, plus fraternel et plus intelligents que ces diviseurs de quelque bords qu’ils soit.

03 mai, 2006

La France qui copie les «Jeunes Nations » en matière d’immigration !



Mardi 02 mai 2006, à l’Assemblée Nationale, le ministre d’Etat ministre de l’intérieur Monsieur Nicolas SARKOZY présentait son projet de loi « d'Immigration choisie ». Dans ce texte qui ressemble, semble-t-il, beaucoup aux lois d’immigration Canadiennes, Australiennes et encore aux lois des pays nordiques, Monsieur SARKOZY propose de donner à la France la possibilité et le choix d’accepter ou non l’arrivée d’un nombre limité de personnes qualifiées dans de divers secteurs économiques de la vie.

Ainsi le ministre de l’intérieur voudrait stopper le flot, très croissant depuis 30 ans, des immigrants vers la France. Ce système marche très bien dans les pays cités ci-dessus. On pourrait alors se demander pourquoi cela ne fonctionnerait-il pas en France ? Cependant, ce système pose un problème majeur d’étique et d’image pour la France qui depuis des siècles, prône le Droit de l’Homme. La France, contrairement aux autres pays appliquant "l’immigration choisie", a un engagement moral envers toutes les personnes attachées à la paix, aux libertés d’idée, aux libertés d’expression, à la laïcité … Or avec la loi « d’immigration choisie », il deviendra très difficile à une personne désireuse de liberté et de Droit de l’Homme de remplir les critères de sélection pour pouvoir entrer en France. Aussi dans cette loi il sera question de « compétences et d’intelligence ». Maintenant se posent les questions du comment, du qui, et des critères sur lesquels vont de fixer les règles qui établiront ces compétences des candidats à l’immigration… A titre d’exemple, pourrait-on dire que quelqu'un qui ne maîtrise pas les mathématiques ou la physique n’est pas une personne compétente ? Et par conséquent, que cet individu ne sera pas autorisé à entrer en France ? Car selon les règles de sélection, la France ne voudra accueillir que les « meilleurs ». Voilà les questions que je me pose, maintenant comme toute personne respectant la démocratie et ses règles, je vous laisse vous faire vos propres opinons.

02 mai, 2006

Ma solidarité et mes condoléances !


En tant que citoyen Afghan, je condamne de la façon la plus ferme l’enlèvement et l’assassinat de l’ingénieur indien qui servait mon pays. Ce dernier avait été enlevé et ensuite, sauvagement, décapité dans l’ouest de mon pays.

Les Taliban qui pendant des années avaient prit mon peuple en otage, maintenant s’en prennent à toutes celles et à tout ceux qui, aujourd’hui, tentent de reconstruire ce pays. Mais le peuple Afghan dans sa plus grande majorité condamne avec force, ses actes de barbaries qui lâchement prennent un père à ses enfants, un mari à son épouse et un fils à ses parents.

Je voudrai témoigner ma plus grande solidarité avec la famille de cet ingénieur en ce moment de deuil et de souffrance.
Je voudrai aussi demander au gouvernement de mon pays de venir en aide, de façon très concrète au famille de l’ingénieur décédé afin que ses enfants ne soient pas laisser dans la misère.