15 mai, 2006

Deux étrangères au bout du monde !


Ce n’est pas vraiment l’envie de détourner les paroles de la chanson de RENAUD qui me motive à écrire cet article ; mais bien le souhait de vous faire partager une histoire de fraternité et de solidarité très intelligente.

Après les attentas terroristes du 11 Septembre 2001 à New York qui ont véritablement changés la face et le destin du monde, RENAUD composait sa chanson «Manhattan-Kaboul » pour raconter l’histoire de ce drame à travers une fille Afghane et un américain.

Aujourd’hui, ce sont deux femmes américaines justement qui en faisant une visite de 5 jours en Afghanistan, réécrivent l’histoire de la douleur, de leur douleurs. Ces deux femmes sont deux veuves des hommes qui ont perdus leur vies dans les attentas de 11 Septembre. Elles sont membres d’une association des veuves des attentats. Cette association finance des projets d’aide aux femmes et enfants afghans qui ont, eux aussi soufferts des crimes perpétuées par des terroristes à leur manière.

Ces femmes, comme une bonne majorité des occidentaux, avant d’avoir été toucher dans leur propres famille par la douleur, disent ne penser qu’au seul bonheur, famille et confort de leur personnes. Elles disent, avoir ouvert leur yeux et voit aujourd’hui que le malheur, la douleur, la joie, la peine, l’amour et enfin la Vie, sont des mot qui n’ont pas de frontière.

En venant en Afghanistan, en discutant avec des femmes et des hommes afghans, elles ont découverts que les mères afghanes elles aussi ne souhaitent que le bonheur de leur enfants. Que ces Afghanes sont aussi victimes des malheurs du monde.

Petty GOYKLY et Suzanne RITEK qui ont de jeunes mamans, finissent par dire une chose que je trouve très vrai et juste : il ne faut pas penser que le malheur des gens de l’autre bout du monde ne regardent que ces gens là. Nous sommes certaines qu’un jour ou un autre, si nous ne sommes pas solidaires des uns et des autres, leur peines vont finir par nous toucher nous aussi.
Elle ont raison, nous sommes tous les habitants de cette même terre. il nous faut être présent dans la douleur de nos frères et sœur qui souffriraient à n’import qu’elle coin du monde. La haine, l’extrémisme, et des divisons ne font qu’aggraver nos malheurs. A nous d’être plus forts, plus fraternel et plus intelligents que ces diviseurs de quelque bords qu’ils soit.