30 avril, 2006

Seul au Monde !


En créant il y a environ deux le Contrat Premier Embauche (CPE), le Premier Ministre, Monsieur Dominique de Villepin, pensait sans doute détenir la clef du réussite en matière du chômage des jeunes. Monsieur le Premier Ministre était sans doute encouragé par des baisses successives de taux du chômage dans le pays depuis son arrivée à l'Hôtel Matignon.
En concevant le CPE après le passage très en douceur de Contrat Nouvelle Embauche (CNE) dans le pays pour des entreprises de moins 20 salariés et avec des mêmes conditions principales : 2 ans de période de « Consolidation » durant lesquels l'employeur peux mettre fin au contrat sans se justifier. Cette fois-ci, Monsieur le Premier Ministre a sans voulu aller un peu plus loin dans la réduction des taux de chômage. Ce dernier a sans était très soutenu par les parlementaires de la majorité (UMP). Monsieur de Villepin a aussi sans doute était très conseiller et mis en confiance par ses « conseillers techniciens » de Matignon. Ces derniers se sont sans doute baser sur les chiffres, sur les modalités et procédés dans d'autres pays ; mais chose qu'ils semble avoir oublier est que la Rue n'est pas d'accord.
La jeunesse de ce pays, qui sont les principaux concernés par ce contrat ne sont pas contents. Ils le font savoir depuis maintenant deux mois et ne veulent pas négocier avec le gouvernement.
Aujourd'hui, suite à un relatif succès des manifestations des jeunes, des salariés et autres dans la rue et surtout par le fait que le numéro deux du gouvernement, Monsieur SARKOZY, semble ne vouloir soutenir le Premier Ministre, ce dernier perd la bataille.
Le pays est touché dans toutes ces dimensions par ces mouvements, une très large majorité des français souhaitent la retraite pure et simple du CPE mais Monsieur de Villepin semble tenir bon. Tenir Bon jusqu'à quand ? à quel prix ? En réagissent ainsi, n'est-il pas se défavoriser pour des élections présidentielles de 2007 ?
Seul le temps pourra nous apporter des réponses justes et concrètes donc attendons