30 avril, 2006

Démocratie à la carte de Monsieur Dominique de Villepin


Nous, les peuples des pays où la démocratie demeure quelque chose de théorique et inexistante. Ca n'a rien de bien spectaculaire, nous avions en effet l'habitude d'être gouverner par des voleurs, et de meilleurs des cas par des gens qui avaient réussi d'arriver au pouvoir après avoir tué des milliers d'innocents. Mais aujourd'hui, l'objet de mon article n'est pas ceci,j'y reviendrai une autre fois, en effet, je voudrai parler de passage de Monsieur de D de Villepin à force pour s'échapper aux débats parlementaire afin d' « aller vite » pour faire passer son projet de loi d'égalité des chance dont le Contrat Premier Embauche (CPE) fait parti.
En soit, ceci n'a rien d'illégal ni de règles anti-démocratique. En effet, Monsieur de Villepin a le doit constitutionnel d'écourter les débats parlementaires (article 49 - 3), mais ce qui me semble un peu hors norme c'est la volonté de Monsieur le Premier Ministre à ne pas vouloir laisser la parole, suffisamment du temps à la rue, pour qu'elle s'exprime.
Si moi je ne suis pas à coté de la plaque, et que si j'ai bien compris, la définition même de mot « Démocratie » est la volonté de peuple. De plus, le gouvernement affirme vouloir rendre justice aux jeunes de ce pays ; donc partant de là, ce que je ne comprends pas c'est que comment peut-on être l'écoute des gens sans leur laissant le temps ni le choix de s'exprimer sur un sujet aussi important que l'avenir des millions de Français ?
En tout cas d'après moi, ce n'est pas en leur donnant l'impression de ne pas être écouter, et en ne pas leur laissant le temps de s'exprimer que nous y parviendrons. Je crois qu'il faudrait laisser faire confiance à la démocratie, laisser l'assemblée nationale s'exprimer pleinement sur le sujet pour nous arrivons à une fin heureuse de ces mécontentements de la rue et de la jeunesse française. Après tout, ce sont les jeunes qui sont les plus concernés par cette affaire de CPE.